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La technologie au service de la santé maternelle et infantile et de systèmes de santé vigoureux

Date de l'évènement

Évènement du CRDI

La technologie au service de la santé maternelle et infantile et de systèmes de santé vigoureux par Richard Gakuba, spécialiste de la cybersanté.

L’amélioration de la santé maternelle et la réduction de la mortalité infantile sont des éléments cruciaux des objectifs du Millénaire pour le développement. Or, dans la plupart des pays en développement, les systèmes de santé n’ont pas la vigueur nécessaire pour permettre un tel accomplissement, et rares sont les ressources qui pourraient les renforcer. Richard Gakuba, coordonnateur des activités du ministère de la Santé du Rwanda en matière de cybersanté, croit que les technologies de l’information peuvent aider à résoudre les problèmes auxquels font face les systèmes de santé de ces pays. À l'occasion d'une conférence publique qui aura lieu au Centre de recherches pour le développement internationale (CRDI), le Dr Gakuba expliquera comment les technologies de l’information permettent d’offrir de meilleurs soins et de sauver des vies. Pour illustrer ses propos, il fera fond sur la vaste expérience qu’a le Rwanda de l’utilisation de ces technologies.

En sa qualité de coordonnateur de la cybersanté au ministère de la Santé du Rwanda, le Dr Gakuba pilote l’essor de la cybersanté dans ce pays. Il y a d’ailleurs dirigé l’élaboration d’une stratégie nationale de cybersanté échelonnée sur cinq ans dont il orchestre maintenant la mise en oeuvre. Cette stratégie mise sur le déploiement de différentes technologies pour relier les régions les plus éloignées aux grands centres.

Diplômé en médecine de l’Université nationale du Rwanda et titulaire d’une maîtrise en cybersanté de l’Université Brunel, au Royaume-Uni, Richard Gakuba poursuit actuellement, à l’Université nationale du Rwanda, des études doctorales dans le cadre desquelles il s’intéresse au rôle que peut jouer la cybersanté dans le renforcement des systèmes de santé.

L’entrée est libre, mais les places sont limitées. Prière de s’inscrire.